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Le nouveau single de la chanteuse Ava Baya “Idée noire” disponible le 30 juin prochain

Ava ose tout et ça lui réussit. Auteure, compositrice, interprète, elle se rôde dans les jam sessions et les pianos bars parisiens dès 2018. Elle y découvre son goût pour l’improvisation, et développe sa puissance vocale à chanter sans sonorisation. “Une vraie école” dit-elle, à propos des Trois Maillets, là où Nina Simone a fait ses débuts.

Ava est aussi actrice, elle tourne au cinéma, joue au théâtre, enchaine les séries, tout juste sortie diplômée du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Ancienne gymnaste de niveau national, elle défend des rôles physiques autant que des apparitions dans des films d’auteur.

Pour elle, la musique est forcément un brassage. Bercée aux chants a capella, elle s’imprègne de ces voix mises à nu qui dévoilent l’âme.

“Idée noire”, son nouveau single, expose la fin d’une histoire d’amour. La voix, toujours aussi groove et l’interprétation sur le fil, appuient le propos entre fragilité et détermination. C’est le deuil d’une relation qui fut toxique mais pourtant belle. Porté par une instrumentale trap et cloud, les idées noires se déversent sur la blessure d’une guerrière. Le clip sort le 30 juin.

Petite, elle écoutait Erykah Badu et Amy Winehouse. Son chant rappelle la soul et le jazz qu’elle a tant cultivé. De par sa formation théâtrale, elle a le goût du verbe et de la poésie française. “Vous interprétez le texte magnifiquement, on voit que vous comprenez profondément ce que vous racontez” lui dit Julien Clerc.

 

Ava Baya

 

Mais Ava est aussi de son époque, elle emprunte le flow du hip hop et le côté sans filtre du rap. “J’aime autant Piaf que PNL.” Avec sincérité et une pointe de second degré, elle a une douceur qui groove. Parmi le dark, le bizarre, il y a cette lumière en elle qui se dégage.

Ses clips sont des courts métrages. On y retrouve l’univers cinématographique auquel elle appartient, la fiction, le cadrage, la photo, le jeu, c’est son truc, elle aime raconter des histoires.

“Pandemia”, son premier clip rappelle l’univers de Mad Max. Elle y est à la fois douce et badass.

“La rose et le gun”, son second clip, évoque un duo féminin autour du jeu de la violence. C’est un cri du cœur envers l’être aimé.

Ava Baya c’est l’expression d’une nouvelle féminité, une féminité douce et puissante, celle de sa génération. C’est une “Amazone du bitume.”

 




 

[Source : dossier de presse]

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